MERELLO | Oeuvre récente.
(EXEMPLES).
ŒUVRE ACTUELLE
Jusqu'en 2025
(exemples)
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artemerello@gmail.com
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José Manuel Merello.-
MERELLO
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Technique mixte sur toile.
ART ACTUEL MODERNE. PEINTURE CONTEMPORAINE. ARTISTES
PEINTRES.
Technique mixte sur toile.
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ART CONTEMPORAIN ESPAGNOL. PEINTURE ESPAGNOLE MODERNE ET CONTEMPORAINE
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Florero con enrejados (100 x 81 cm)
Technique mixte sur toile.
Bodegón Balear. (81 x 100 cm)
Technique mixte sur toile.
Florero Primavera (100 x 81 cm)
Technique mixte sur toile.
La Mujer del Escultor (130 x 81 cm)
Technique mixte sur toile.
ART MODERNE. ART ACTUEL.
.« L’art ne dépends pas de moral, ne comprends pas d’étique.
C’est bien l’être humain qui doit mettre le holà à certaines formes d’art qui
peuvent être nuisibles à la planète ou à la coexistence. Il est convenable de
les éviter si elles sont préjudiciables, même s’il on parle d’un chef- d’œuvre
d’art. Néanmoins, on ne doit pas l’interpréter comme une manière de censure
arbitraire, ni comme un discours moralisateur religieux, sexuel ou politique qui
s’impose à l’auteur, mais comme une simple question de survivance dans le monde
des arts extrêmes. L’agonie et la mort lente d’un chien, exposées dans une
galerie d’art, par exemple, dépassent toutes les limites. L’art est comme la
nature, libre et brutale : un ouragan merveilleux qui a la force de nous tuer.
Et surtout, il faut jamais l’oublier » © José Manuel Merello
« Le cadre est au bon tableau ce que la robe est à une belle femme nue. Il n’est
pas indispensable, mais il le rehausse et donne à l’œuvre toute sa grâce. » ©
José Manuel Merello
« Je déteste une grande partie du minimalisme qui se pratique aujourd’hui dans
tous les arts, J’ai bien peur que sous la surface de cette supposée synthèse ne
se cache énormément de saletés et de choses inutiles qui ne font que tromper le
public, parfois ignorant et innocent, mais bien souvent composé d’insupportables
pédants qui n’y comprennent rien ni ne savent de quoi ils parlent. » © José
Manuel Merello
« Moi je prêche pour des peintres humbles. La peinture n'a pas besoin de tant de
cirque, ni d'autant de prétention intellectuelle. Elle doit naître de l'âme pure
de l'homme, de l’œil clair et impartial du peintre, même lorsqu’il ne s’agit que
de peindre une simple pomme. C’est pour cela que j’apprécie tant Morandi. »©
José Manuel Merello
« La Peinture Abstraite et la Peinture Surréaliste, en plus d’être essentielles
et merveilleuses en elles-mêmes, remplissent aujourd’hui un rôle pédagogique qui
n'a pas de prix, et ce pour n’importe quel artiste. Elles font désormais partie
de l’Art Classique et sont devenues Patrimoine Artistique pour la Formation
Spirituelle et Technique de l’Artiste. Elles sont une véritable gymnastique pour
le subconscient et pour l’œil, lieux par excellence où se forgent presque toutes
les sensations et les émotions spirituelles qui finalement construisent cette
chose incommensurable et grandiose que l’on appelle L’ART de LA PEINTURE. » ©
José Manuel Merello
« Le dessin ne se caractérise pas par la ligne, ni la peinture se caractérise
par la couleur. La peinture garde plus ou moins son essence et, celle-ci c’est
partiellement sa définition actuelle car elle peut être assimilée et comprise
grâce à un moniteur ou à une photographie. Par contre, le dessin c’est
énormément bien assimilée par ces moyes ; selon moi et, fétichismes à part, ça
m’est égal d’avoir un dessin original de n’importe qui, ou sa photographie ou
son poster. C’est la même chose et on peut s’en amuser également. Un cas
similaire, c’est la lecture d’un bon livre dans une ou autre édition. Tout comme
une photographie développée pour la seconde ou la dixième fois. Quand le
fétichisme et la plasticité ne font pas partie de cet enchaînement, tous ces
supports nous font toucher la grandeur -ou misère- de l’œuvre. Pourtant, en
peinture il faut mettre en relief ce qu’il y a de plasticité, de plastique, de
morbide, d’opacité ou de transparence, de surface brillante ou mate… voici des
qualités impossibles à transmettre avec le moniteur d’un ordinateur, avec un
téléviseur ou un poster. Ce qui est digital, au lieu de casser les arts,
magnifique tous ses attributs et dans ce cadre, c’est la peinture qui gagne
parce qu’aujourd’hui, c’est impossible de bien déguster Les Ménines dans une
image. Ce n’est pas possible de sentir le vide de la pièce où Velazquez peint,
c’est immensément difficile à percevoir la coquille ancrée de la couche
picturale du tableau. C’est inutile aussi à se tourner et essayer de la voir de
côté afin de distinguer les protubérances et la peinture striée du génie de
l’art. Et on ne peut pas s’arrêter avec les tableaux de Tapies, ou de Lucian
Freud, ou de Jasper Johns… La couleur et la disposition des formes peuvent nous
transmettre beaucoup, bien sûr, mais elles ne suffissent pas pour spécifier la
plasticité du tableau. Voilà. Tout cela c’est la Peinture.
De même, et pour cela, il existe la peinture sans couleur, composée seulement
par la ligne et la plasticité et, il existe également, le dessin rempli d’une
saturation impensable de la couleur et sans lignes. Alors, dans cette hiérarchie,
est-il pire la couleur que la peinture ? Non. À mon avis, rien n’est un obstacle
et tout est un progrès. L’ordinateur et les logiciels de peinture et de dessin
sont des nouveaux crayons et pinceaux qu’on peut ajouter à notre collection afin
de mieux travailler. Il s’agit de plus de matériels et des moyens pour aider aux
peintres dans son travail. Mais, attention, pendant que la plasticité digitale,
ou quoi qu’il s’appelle, existe, il faut oublier l’idée de vendre des tableaux à
partir de photographies ou de visiter des musées en ligne. On peut garder une
toute petite idée, on peut entrevoir l’issue, mais le battement fétichiste reste
au musée aussi comme le pressentiment de ce qui est unique et qui n’admet pas de
copie.
Les cas de la peinture est semblable à celui du théâtre avec le cinéma. Le
cinéma est un art en majuscules, il est un nouveau format conquis par les muses
dans le but d’élever l’esprit de l’être humain au plus sublime. Le cinéma est
aussi fort et intense que les autres arts. Mais, malgré tout, ce que lui
différence du théâtre et des arts scéniques (la danse, la mimique, la
tauromachie etc.) c’est exactement ce « je ne sais quoi » qui définit le théâtre
: ce qui est direct. La tridimensionnalité qui enveloppe le spectateur dans un
moment unique, dans une interprétation unique, extraordinaire ; l’odeur exact,
le cri, et la modulation correcte, mais aussi différente dans chaque mise en
scène ; la vision réelle de l’acteur, le fétichisme de sa présence et de la
présence dramatique du sentiment qui détient le dramaturge. Tout ressemble de
manière étonnant aux rides des peintures, à l’apparition toujours différente des
peintures, à la dépendance qui présente la peinture du temps et, celui-ci la
modèle avec l’humidité, les fissures, et les décolorations. Le théâtre est vif
et la peinture est aussi vive. Mais, est-ce que cela veut dire qu’un tableau est
supérieur à l’art de la photographie ou à un poster d’un bon dessin ? Alors, est-ce
que c’est pareil pour le théâtre et le cinéma ? À mon avis, le théâtre n’est pas
supérieur au cinéma, pourtant, il ne pourra jamais nous emmener par des chemins
impossibles comme le fait le cinéma. Un dessin digital ou une photographie
forment des jeux et des expressions que la peinture ne peut pas atteindre. Par
contre, le théâtre et la peinture capturent le charme de ce qui est direct, de
l’instante glorieuse, comme l’ensorcellement de l’auteur interprète qui semble
vous chanter et seulement à vous. Et peut-être, ce n’est pas supérieur mais…
quelle classe ! © José Manuel Merello
Surréalisme et effet Dali-Magritte.
Ma peinture, n’est pas-t-elle surréaliste ? Quand un vase ne se posse sur une
table mais il gravite, ou quand le chapeau que je dessine à une femme, devient
le soleil dans le crépuscule, là je suis en train de faire du surréalisme. Ça
peut être mieux ou pire, mais en tout cas, c’est le surréalisme. Quel ennui et
quelle baliverne avec l’idée d’une peinture surréaliste qui doit être gommeuse
comme un chewing-gum, lamineuse, avec de dégradés toujours mous et qui doit
avoir des astuces de prestidigitateur qui cachent des culs dans des pommes ou
qui traversent ses femmes avec des voiles vaporeux de sirène et des éclats
nucléaires de planètes symphoniques. Ce n’est pas ça. Le talent de Salvador Dalí
et de René Magritte, parmi d’autres, est énormément puissant entre les peintres
fanés qui n’ont pas su, ni savent les comprendre et qui abusent de leur héritage
en les dénaturant et les affaiblissant. Et voilà comme se détourne ainsi une
manière de faire du surréalisme, à cause d’une technique obligée. Parfois je
suis surréaliste, mais je suis aussi un expressionniste, et je prends un peu de
pop art si ça m’arrive, et je le dépose dans un coin de mon tableau. Je peux
dessiner un tableau surréaliste sans laisser de côté ma technique ni ma marque
expressionniste. Je peux être aussi pop en employant des couleurs rugueux sans
répétitions réchauffées des marylines et des filles « velazquiènnes » de demi-chevelure
: J’en fais qu’à ma tête. Aujourd’hui la peinture est le légat puissant hérité
depuis des siècles, libre et ouvert et chaque peintre peut utiliser tout ce
qu’il aime et tout ce dont il a besoin. Sans fondamentalismes techniques. À bas
les dictatures planétaires, de la fantaisie, du monstrueux, du minimal radical,
du pop art toujours soupière et phosphore, et à bas l’hyperréalisme de l’eternel
chemin de fer et l’impressionnisme du coup de pinceau fugitif parce que ça nous
chante. Heureusement, de temps en temps il apparaît un homme de l’envergure de
Edward Hopper, par exemple, qui nettoie toute la peinture et sa technique
d’autant de médiocrités et prétentions, jusqu’à la nudité et cristallinité de sa
pure essence et actualité, au plus pur style de Alfred Hitchcock. Et libre. ©
José Manuel Merello
« Un bon dessein ne dessert en rien une bonne peinture. J’ajouterais même, que
derrière tout tableau se cache nécessairement un dessin qui lui donne vie, un
squelette qui lui donne forme et constitue l’essence autour de laquelle
s’organise son mouvement. Les tableaux dépourvus de cette base restent sans
éclat et semblent ternes. »
« Tout le monde se demande ce qu’est l’art. Moi, je pense que l’art s’applique à
toute création humaine qui réussit à élever l’esprit à un stade supérieur
d’émotion et de surprise. C’est pourquoi je ne considère pas la cuisine comme un
art, pas plus que le football, la couture ou la mode… »
« La peinture espagnole a su conserver tout au long des siècles un regard serein
et mélancolique : elle peut être tragique mais jamais violente. Il n’existe
aucune peinture espagnole qui soit violente. Ni le plus cruel des Goya, ni le
plus épouvanté des Picasso n'a jamais perdu la mesure et l’élégance dans la
maîtrise de son pinceau. » © José Manuel Merello
« La peinture espagnole garde tout au long des siècles un regard clair et
mélancolique : tragique mais jamais violent. Il n’existe pas de peinture
espagnole violente. Ni le plus féroce Goya, ni le plus épouvanté Picasso, n’ont
jamais perdu leur maintien, ni leur classe avec leurs pinceaux. » © José Manuel
Merello
ART 21e SIÈCLE. XXIe SIÈCLE PEINTURE. ART MODERNE. ART ACTUEL.
ART ESPAGNOL. PEINTURE MODERNE. PEINTURE ESPAGNOLE CONTEMPORAINE